Du temps de l’Occupation, le père Eugène
allait de temps en temps à Toulouse vendre un cochon
ou un veau et en profitait pour faire quelques emplettes.
Un jour, comme il était arrivé à la gare de Toulouse
avec une bonne heure d’avance sur le train
qui devait le reconduire dans sa campagne,
il prit le temps de se taper un cassoulet au buffet.
Puis le train entra en gare et
l’Eugène monta dans un compartiment
où trois officiers allemands avaient déjà pris place.
Le train démarre, et là, le cassoulet commence à lui travailler les tripes :
au bout d’un moment, n’y tenant plus, le père
Eugène lâche un pet, mais un pet bien bruyant et odorant !
Et pourtant le voyage continue, les passagers affectant de n’avoir rien entendu.
Mais l’Eugène, ça le travaille de plus en plus,
et le voilà qui en lâche un deuxième.
Cette fois, les Allemands ne peuvent retenir une grimace de dégoût.
Et vlan, là-dessus, l’Eugène se laisse aller une troisième fois.
Les Allemands n’en peuvent plus :
ils se lèvent et sortent du compartiment
avec un mouchoir sur le nez.
Alors l’Eugène se tourne vers son voisin et lui dit :
– Qu’est-ce que vous voulez ?
On peut pas leur dire qu’ils nous emmerdent,
mais on peut toujours leur faire sentir !
Bonsoir ma gentille marchande de soleil
Il était bien présent aujourd'hui et aussi bien chaud
Alors ta petite chienne est une fan du soleil ma minette aussi
le moindre rayon et elle va se coucher , elle revient on ne peut même plus la toucher tellement elle est chaude. lol
Bonne soirée ma douce amie et gros bisous
ton amie Janine